Pour ce dernier billet de l’année 2021, j’ai décidé de vous emmener dans l’espace, vers ce qui se trouve « au dessus de nous » et qui nous fascine depuis toujours. Enfin, n’avons-nous pas en France un super spationaute avec Thomas Pesquet qui, avant son retour sur terre il y a quelques semaines, nous envoyait des photos, partageait ses impressions sur un univers plus grand que celui de notre monde à l’échelle de l’individu. Voilà le décor est planté !
Ah l’innovation ! Voilà le « mot sacré » qui est dans toutes les conversations des dirigeants d’entreprise parce qu’il semblerait que sans elle, point de salut ! Mais si elle est prise au premier degré, je crains que cela n’engendre davantage d’angoisse que d’énergie positive et d’envie de créer pour les équipes.
Ah le Petit Prince ! Il est si touchant avec sa naiveté apparente en posant des questions qui nous interpellent et nous obligent à une saine remise en cause de nos principes, de nos idées ou de tout ce que nous faisons (souvent) d’une façon automatique.
Quelle année 2020, tellement incertaine que je ne vais pas y revenir dessus. Elle nous aura au moins confirmé que le monde est en plein changement. Après l’étonnement dû au COVID et un certain temps de latence pour passer « à la saine réaction », il me semble plus pertinent de nous projeter en 2021, dans l’action et surtout sur l’état d’esprit à développer pour bien réussir cette année de transition qui s’annonce riche.
« Il faut que tout change pour que rien ne change ! » ; cette phrase rendue célèbre par l’écrivain italien Giuseppe Tomasi di Lampedusa dans son roman « Le Guépard » (1959) prend aujourd’hui tout son sens. Petit à petit, le monde retourne au travail, mais avec toujours les mêmes questions de fond non résolues : Que dois-je faire ? Pourquoi le fais-je et quel sens donner à mon travail pour renforcer mon être?
Après avoir été confiné à la maison pour près de la moitié de la population mondiale et suite à la première vague de déconfinement progressive, les entreprises découvrent l’ampleur de la reconstruction ! Un défi qui s’annonce tout aussi passionnant que celui accompli par Héraclès lorsqu’il se mit à nettoyer les écuries d’Augias, le 5eme des 12 travaux ordonnés par Eurysthée, laissées à l’abandon depuis une trentaine d’années... quasiment la même période de temps que celle qui a entrainé notre dérive consumériste « à tout prix ».
Voilà, nous y sommes. Après être restés confinés pendant de très nombreuses semaines à la maison, nous pouvons reprendre le cours (normal?) de nos activités, à commencer par notre travail. Et pour rentrer directement dans le vif du sujet tant en Espagne qu’en France, de grands responsables demandent à leurs équipes de faire les efforts nécessaires pour qu’ils récupérent rapidement un niveau de production et de vente similaire à celui qui était le leur avant la crise du Covid-19.
Quel mois de Mars nous venons de passer ! Quelle expérience ! Et elle n’est pas terminée. Mais l’être humain a cette faculté de savoir se réinventer et aussi de se projeter dans un futur qu’au fond, il désire meilleur pour lui et ceux qui l’entourent. Alors que nous sommes tous confinés dans nos foyers, au lieu de nous tourmenter, de nous lamenter…essayons d’ouvrir notre esprit puisque lui au moins n’est pas obligé d´être enfermé pour se protéger et que cela est vital pour notre bonne santé mentale.
«Poor thinking keeps people poor!», c’était en 1998 lors d’une réunion de travail chez Redken (Groupe L’Oréal) à New York et cette phrase, prononcée par la Directrice Formation, m’avait marqué. Une phrase pleine de bon sens et de justesse. Alors je me souviens lui avoir demandé pourquoi ils tenaient tant à former les coiffeurs sur autre chose que juste la connaissance technique du produit professionnel à utiliser en salon, pour satisfaire leurs consommatrices les plus exigentes.
Ce premier blog 2020 est dédié à tous ceux qui aiment marcher pour mieux se connaître!
Nous y voilà ! Déjà en 2020, une nouvelle décennie s’ouvre et une nouvelle année commence. La responsabilité est grande pour ce premier blog et il convient de bien penser quel sujet aborder ; alors après plusieurs nuits de réflexion, j’ai décidé de débuter cette nouvelle série de blog 2020 sur un autre rythme.
Marchons un moment ensemble, voulez-vous ?
Nous voilà donc pour ce dernier blog 2019, alors que nous allons bientôt célébrer en famille les fêtes de Noël et celles de la fin d’année…toujours annonciatrices de bonnes résolutions pour l’année suivante. Autant anticiper ce moment de « promesses personnelles 2020 » et vous proposer de réfléchir sur un autre monde professionnel possible. Après le « Show me the money ! » décrit lors de mon blog précédent en Novembre, voilà la suite avec « O Captain ! My captain ! ».
Cette thématique de blog sera traitée en deux parties : Une maintenant, la suivante avec mon billet de Décembre qui viendra accompagner les fêtes de Noël et de fin d’année.
Le consommateur se retrouve chaque jour devant une offre de plus en plus large et pléthorique. Alors comment une marque peut-elle se démarquer, comment lui dire qui elle est réellement ? Le contexte du « tout digital » a bouleversé les repères et les marques ne sont plus maîtresses du jeu, ceux sont les collaborateurs qui décident avec qui travailler, les consommateurs quelle marque acheter.
L’autre jour à Madrid, j’ai eu une conversation très intéressante avec un responsable du secteur cosmétique espagnol. Il me disait que le marché cosmétique est en pleine mutation, surtout dûe à la pression exercée par le Online. Quelle surprise!
Toutes les études de tendance consommateur pointent vers la même conclusion, il est en pleine mutation! L’importance croissante d’internet et des Réseaux Sociaux, la multiplication des sites de vente en ligne, influencent son comportement.
Une étude scientifique et économique publiée en Novembre 2013 par Asymco résume de façon incroyable la révolution que le consommateur américain est en train de vivre et surtout la rapidité avec laquelle elle s’est mise en place:
Pour une PME Haute Performance, les premiers mois ou années d’activité sont clé à plus d’un titre. Non seulement, son dirigeant doit faire face à de nombreux champs d’activité à la fois (Finance, développement produit, chaine logistique, recrutement de ses équipes, politique commerciale et marketing…) mais il doit aussi penser à avoir les justes ressources financières pour assurer son développement.
Une série culte des années 70 qui a marqué bien des générations, mais surtout des acteurs, une introduction qui marque avec le fameux générique du génial John Barry, un style vestimentaire opposé et des voitures. Nous y sommes, voilà maintenant qu’il va nous parler voiture ! Certes, un sujet au combien passionnant, mais vous remarquerez que j’ai porté mon choix sur deux marques mythiques : Ferrari et Aston Martin. Alors, quel est le point commun entre ces marques et l’avenir des PME Haute Performance ?
Le consommateur est en train de tout changer: Avant il se déplaçait dans un point de vente, choisissait un produit, parfois conseillé par un professionnel, une vendeuse, le payait sur place. Aujourd’hui l’arrivée d’Internet et du e-commerce bouleversent tous les repaires, il peut acheter où il veut, quand il veut, au gré de son rythme et de ses envies.
L’accompagnement dans la transformation est de nos jours certainement la forme de conseil la plus recherchée et aboutie pour des entreprises cherchant à se développer. Il ne s’agit plus de « conseiller » mais plutôt d’écouter, de comprendre et d’analyser pour ensuite accompagner dans leur développement des équipes, des managers, des directeurs jusqu’à ce qu’ils assimilent des compétences et atteignent leur propre autonomie.
LES BASES DE L’ACCOMPAGNEMENT DANS LA TRANSFORMATION : (Source : Livre blanc Ithikos nº5 ; Management et PME Haute Performance)
L’île de plastique du Pacifique. Photo: La Vanguardia
Fin Août, je prenais un verre en terrasse à Madrid avec un de mes amis. Nous parlions un peu de tout, des vacances, du retour au travail, de la vie. Madrid est une ville très agréable et qui se prète à la contemplation et à la discussion.